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La nature source de résilience par Evelyne cavallero

Nature, enfant intérieur et résilience


L enfant interieur et la résilience.

Certains d’entre nous on eu une enfance merveilleuse et sans accros…D’autres pas.

Je fais partie de ceux là.

La conscience de la maltraitance sur notre enfant interieur ou dans notre enfance, ne vient pas tout de suite et quelquefois, elle ne vient jamais

.Je me souviens du cas d’un client qui avait des problèmes comportementaux et en creusant un peu, il a fini par me dire que son père le battait à coups de ceinturon, cependant, il continuer à dire que c’était normal et que ça faisait partie de son éducation.

Les violences que j’ai connues étaient de l’ordre du psychisme et de l’émotionnel… Les bleus invisibles font souvent plus de dégâts que ceux qui se voient.

Il n’y a pas de meilleure ou pire violence. Elles sont toutes douloureuses, stigmatisantes et ont leurs conséquences. Elle nous pousse à trouver de la résilience en nous pour avancer, en se tournant vers notre enfant interieur blessé, en trouvant des ressources,  en se tournant vers la nature qui, entre autre, nous fait du bien

Le premier pas est de s’autoriser à voir la maltraitance là où elle était et là où elle l’est encore.

Il m’a fallut dépasser la cinquantaine pour m’autoriser à voir la maltraitance que j’avais subit.

Ceci étant dit, jusqu’à il y a un certain temps, je trouvais des excuses, des raisons, à ceux qui n’avaient pas eu un comportement approprié et c’était justifié…

Puis, j’ai réalisé qu’à un moment donné, on pouvait aimer ses parents, les personnes qui avaient été en charge de nous, sans pour autant accepter les dits : comportements.

  • En bref, j’ai réalisé que pour guérir vraiment, il fallait déjà reconnaître la distorsion, sans l’excuser.

L’excuser : c’est trahir une deuxième ou une énième fois, l’enfant en nous, celui qui a subit et qui reste avec sa douleur, seul et isolé.

  • Après, nous pouvons trouver des raisons aux comportements inadéquats, tout en reconnaissant qui avaient autorité sur nous avaient eu aussi, l’option du choix.

Certes, nous faisons tous selon ce que nous pouvons, mais nous avons toujours je choix de grandir, de se faire aider, de changer…

La résilience, c’est aussi passer d’un espace à un autre. Se relever et rejouer avec la vie.

Certains ne passent pas le cap et rejoue leur douleur en la projetant sur leur enfant ou sur quelqu’un d’autre.

On peut s’aigrir, devenir abattu, se retrancher derrière la victimisation… ou reprendre le courant de vie en soi et le laisser nous amener plus loin.

Je rencontre des personnes qui malgré tout ce qu’elles ont vécu, sont joyeuses, et continues à avancer, même avec leur névrose ou autres douleurs.

Elles ont trouver de la résilience… cette force en soi, pour remonter la pente. J’ai bien conscience que pour diverses raison, cela peut ne pas être à la portée de tous.

Pourtant, une chose est sûre, au milieu de tout ça, il y a toujours le désamour de soi et donc des autres.

La nature comme nouveau souffle d’inspiration et de résilience.

Personnellement, c’est la nature, les fleurs et les animaux qui m’ont permis d’avoir à chaque fois, de la résilience. Le sourire d’une grand-mère aussi…

Mais la nature est ma grande amie et je conseille souvent à mes clients de se laisser aimer par elle.

J’ai trouvé l’énergie du vivant à l’extérieur de moi, pour soutenir le vivant en moi !

La nature est indispensable pour retrouver l’équilibre en soi et pour traverser des espaces où l’on sent que revenir à une forme d’introspection nous est necessaire.

La nature est notre modèle de résilience.

Si l’on sait l’observer, nous pouvons voir dans des plantes, des animaux, des arbres : nos mentors et nous en inspirer, pour aller vers le mieux vivre et le mieux être.

Evelyne Thérapeute

Pour aller plus loin ; comment intégrer le libre arbitre dans nos vies

Savoir repérer les conditionnements parentaux

Et enfin, pour comprendre son enfant interieur ; guérir les blessures de son enfant interieur

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