On connait depuis peu d’années l’impact des circonstances qui ont entourées le moment de la naissance, sur le futur enfant et adulte.

Mais, la reconnaissance de  l’impact des circonstances de la conception sur le comportement futur de la personne, l’est encore moins.

Pourtant tout commence là, aux premiers moments de la vie.

Comment ces premiers moment de la vie nous impactent-ils ?

Il a fallu attendre les années 70 pour que soit reconnue l’existence d’une conscience chez le fœtus, avec la capacité d’avoir des sentiments, des émotions… des pensées.

A savoir qu’avant cela, il était courant de penser que le bébé/ fœtus ne ressentait rien et ne pouvait ressentir la douleur. On imagine la souffrance vécue par ces nourrissons durant les accouchements difficiles, et les opérations.

Durant des siècles, l’enfant à naitre à été considéré comme étant un ange,  une chose qui ne sentait rien et qui n’avait pas de sensations propres.

Il a fallu passer de ce stade à la prise de conscience du contraire.

Des premières cellules jusqu’à la naissance et au delà, il y aura enregistrement des contextes, des émotions des parents, de leurs sentiments, et tout aura une influence, positive ou négative, sur la construction de l’enfant et du futur adulte.

Un exemple concret de cette influence est l’information retenue par les cellules au moment de la conception, si la maman par exemple, accepte par devoir, de faire « son devoir conjugal ». Quelle information retiendront les cellules ?

Et bien, il a été démontré que la plupart des personnes à l’âge adulte, adopteront souvent une position de faire par  » devoir  » les choses.

Dans le langage courant, on les entendra souvent dire : je dois faire, il faut que…

Cela peut semblait être un raccourci pour certains, et pourtant…

L’humain est complexe et c’est ce qui fait sa richesse, mais dans cette complexité, la simplicité existe aussi.

Heureusement, il est toujours possible de réinformer les cellules.

Quelques soient les techniques, cela passera par la reconnaissance des sensations enregistrées par l’âme et la biologie, des empreintes de naissance et de gestation, des souffrances vécues, pour aller vers une reprogrammation des cellules, avec des programmes plus en lien avec la vie et le bien-être.

• Tout chemin commence par une prise de conscience.
• Puis par la recherche d’aide à la compréhension de ce qu’il est bon de déprogrammer.
• Reprogrammer dans le sens de ce qui va favoriser le rétablissement de l’équilibre.
• Et enfin, de passer à l’acte dans le plan physique.

Pour aller plus loin : vous pouvez aller voir aussi le syndrome du jumeau perdu,

Comment les mémoires prénatales deviennent des empreintes de naissance : les mémoires prénatales   

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